Dossier des preuves
Mise à jour le 26 juin 2020
Cette page présente un extrait du dossier des preuves du grave crime en cours
commis contre moi en toute impunité par l'organisation médico-sociale et
juridique-judiciaire privatisée qui dirige les comités publics
territoriaux citadins, départementaux, régionaux et nationaux jusqu'à
l’État lui-même en
France, en Europe et en Nations Unies. Celui-ci avait été rendu
public en 2006 pour les quelques éléments disponibles à l'époque soit
une cinquaine de documents. Je l'ai retiré en 2007 suite au premier
attentat à la vie par la police psychiatrique. Remis en ligne en
2015 avec une centaine de documents suite à la clôture définitive de la
plainte de 2005 par le Doyen des Juges, je l'ai à nouveau retiré en
2018 suite au dernier attentat à la vie par l'hôpital psychiatrique. Cette version actuelle fait suite à la libération psychiatrique avec maintient du fichage
calomnieux et à la décision arbitraire sans recours possible du
procureur de décréter que le crime en cours n'est pas punit par le code
pénal malgré les nouvelles preuves. Cette fois-ci j'ai fait l'impasse sur la partie médicale antérieure à 2004 concernant la gestion de ma surdité et la dizaine de traumatismes corporels qui relève de l'escroquerie et de la non assistance à personne en danger ainsi que du mauvais traitement, car après, cela relève de la tentative d'homicide et du crime contre mon humanité organisé par l’État via les forces de l'ordre et les entités privées qui dirigent de fait cet État.
Le dossier complet fait plus de 600 pages, et ignoré de l'assurance maladie, des procureurs et des juges, il est qualifié de
"délire hypocondriaque paranoïaque" par une dizaine de psychiatres
et un expert qui affirment que ma surdité partielle ayant engendré une
neuroatypicité s'aggravant au fil des ans, des traumatismes corporels
et des mauvais soins, que les infections
chroniques mal soignées ayant faillit me tuer quelques fois, et que les douleurs du système locomoteur mal
soignées résultant des
traumatismes corporels causés par des tiers humains, au sujet desquels
la Compagnie Mutuelle d'Assurance chargée de la protection de ma santé
et de mes biens, avec l'Assurance Maladie et les Ordres Médicaux et de
Justice, m'a reconnu comme victime non responsable, sont une imagination
de ma part et n'existent pas. Tous affirment ainsi que je suis dangereux, non pour moi-même, mais pour autrui, parce que je dis la vérité et montre les preuves au sujet du mal subit et au sujet de la politique administrative actuelle qui est anticonstitutionnelle et donc illégale et nuisible pour le peuple et pour l'espèce.
Description
Ce dossier est illégalement
ignoré par les autorités depuis 2005, y compris par les procureurs et
les juges, et il a été attenté à ma vie par cinq fois dans le but avoué
de me faire
taire et oublier mes doléances, et donc de fait juridique de me faire
disparaitre de la circulation :
- 1977 (4 ans) : Agression sexuelle par une petite fille de 8 ans qui a
voulu me "montrer comment on fait les bébés". Surprise par un employé de
la mairie, il a crié sur moi au lieu de questionner et expliquer.
- Février
1984 (10 ans) : Agression physique par coup de poing violent dans l'oreille lors
d'un traquenard par un adolescent qui m'avait dit qu'il allait me
"tuer", ce qui m'a fait tomber par terre et qui m'a rendu sourd partiel
et malentendant. Personne n'a dit qu'il y avait également des lésions
locomotrices que les assureurs ont par la suite réfuté comme étant d'origine traumatique.
- Septembre 1987 (14 ans) : Mauvais
soins d'un abcès de l'oreille à germes mortels résistants. J'ai été
sauvé in-extremis par le généraliste à son retour de vacance qui a
obtenu de force une hospitalisation en urgence dans un hôpital hors
région sous peine de mourir en quelques heures. Attribué, par un
professeur et les experts des assurances, au coup de poing qui m'a
infecté.
- 1994-1998 (21-25 ans) : Six voitures
percutent à vitesse de ville mon véhicule, plus trois petits chocs,
créant ainsi un "mal au dos" qui ne fait qu'augmenter au fil des
"accidents" et qui m'empêche de vivre et d'obtenir un diplôme d'études
supérieures. Les docteurs ne font que me prescrire des médicaments et me
dire que les douleurs sont psychosomatiques : je ne comprends pas, les
kinés me boxent et les ostéopathes ne font rien de bien, contrairement
aux docteurs en médecine mécanique découverts l'été 2005. L'assureur affirme depuis mensongèrement que mon mal au dos déclenché par ces traumatismes est du à une cause non traumatique, c'est-à-dire, ais-je découvert plus tard, "psychiatrique"...
- Avril
2004 (31 ans) : Agression physique par chiropracteur, que je consultais pour mes douleurs dorsales "modérées" mais persistantes depuis les accidents de voiture, qui m'a estropié en me
disant que j'étais un "malade mental". Je vis depuis entre le lit et la
chaise de l'ordinateur dans une chambre en hébergement à titre gracieux.
- Janvier 2005 à janvier 2006 (32 ans) : Refus collectif de soigner une infection dentaire jusqu'à presque me laisser mourir.
- Décembre 2006 (33 ans)
: Agression physique par des policiers à l'IGS puis hospitalisation
sous
contrainte en psychiatrie durant 45 jours afin de justifier le mauvais
traitement médical, le
refus de soins anti-infectieux et locomoteurs, les attentats à ma vie,
et l'obstruction judiciaire. J'ai été libéré parce
que j'avais écrit au Juge des Libertés et le psychiatre a dit qu'il
avait peur d'une expertise parce je n'avais pas de maladie mentale. Mais
une fois relâché on m'a dit qu'on avait obtenu ce qu'on voulait puisque
j'étais fiché malade mental dangereux. J'ai constaté par la suite que
cela est utilisé par tout le monde pour me retirer l'usage de mes droits
fondamentaux et pour dire que je dois être "traité" en psychiatrie
jusqu'à la fin de mes jours sans même avoir besoin d'argumenter et de
prouver quoi que ce soit : il suffit de dire que j'ai été hospitalisé
une fois pour nier les faits et les preuves.
- Mai 2016 à mai 2017 (43 ans) : Refus collectif de soigner une infection dentaire jusqu'à presque me laisser mourir.
- Mai 2018
à mai 2019 (45 ans) : Hospitalisation psychiatrique sans consentement
par les Urgences de l'hôpital prévue à vie, afin de justifier le refus
collectif de
soins anti-infectieux et locomoteurs. J'ai été relâché, en restant
doublement fiché,
suite au diagnostic de déficit immunitaire de mai 2019 qui prouve de
fait, avec les comptes rendus radiologiques établis depuis 35 ans, que
tous
les psychiatres mentent en haut-lieu à mon sujet et qu'un crime est en
cours depuis
des décennies.
Il y a au total une vingtaine de
traumatismes corporels depuis 1984, plus les infections chroniques,
parfois graves, qui
ont été volontairement pas ou mal soignées, ou pire. En 36 ans j'ai
failli mourir une dizaine de fois, que ce soit à cause de bactéries et
de virus ou de la volonté humaine. En vérité,
les psychiatres et plein de gens qui dirigent affirment que se plaindre
être sourd, avoir des infections à répétition et avoir mal au dos à
cause de tiers humains, et que demander des soins à ce sujet ainsi que
la réparation en justice pour obtenir l'arrêt du crime en cours et la
compensation seulement de la perte de salaire, est une maladie mentale
nécessitant kidnapping, séquestration et empoisonnement sur décision de
quelques docteurs de l'Assurance Maladie, de la Compagnie Mutuelle
d'Assurance et de l'hôpital ainsi que des procureur et des juge sans que
personne parmi des milliers de milliers y fasse quoi que ce soit depuis
16 ans pour interrompre ce crime.
En
dessous du seuil de pauvreté et sans logement, incapable de marcher plus
de quelques minutes et travailler, souffrant en permanence avec parfois
des douleurs fulgurantes, le bureau de l'aide
juridictionnelle et l'ordre des avocats me refusent l'accès à un avocat
commis d'office et tous mes recours sont déboutés en invoquant via des
décrets illégaux et le défenseur des droits un "bon-droit bien-fondé
légal non susceptible de recours".
Au sujet de l'auteur Témoignage
Extrait 08/10/2001 - Réponse de la Compagnie Mutuelle d'Assurance à un avocat
Ces
dernières années j'ai appris à lire et comprendre les mots des docteurs
: ainsi je sais que les experts des assurances et des tribunaux mentent
à mon sujet et déforment les résultats d'examens
radiologiques et sanguins. Cet avocat, ainsi qu'un autre et un expert médical consultés par la suite, m'ont dit de "laisser tomber", même si cette assurance privée chargée de mission de service public, qui avait reconnu que le traumatisme de 1984 m'avait infecté et avait faillit me tuer en 1987, mentait sur l'origine de cette pathologie vertébrale, le traumatisme de 1984, aggravée par les "accidents" de voiture de 1995 à 1998, par le chiropracteur début 2004, par la police fin 2006, par la mauvaise literie de la psychiatrie en 2018 et par un kinésithérapeute fin 2019.
18/05/2004 - Certificat médical établit suite à l'acte chiropratique
Le généraliste m'a adressé à un psychiatre qui a voulu me mettre sous antidépresseur et à un kinésithérapeutes qui a boxé mon dos alors j'ai vite arrêté. Je suis allé voir une assistante sociale de la mairie qui m'a dit de demander à être placé sous curatelle. Je n'ai pas compris.
09/02/2007 - Avis de classement sans suite de la plainte pour mauvais traitement
J'avais déposé plainte contre la Compagnie Mutuelle d'Assurance gestionnaire des infections chroniques et des traumatismes corporels causés par des tiers humains de 1984 à 1998, et contre des docteurs, kinés et dentistes, y compris de fait le chiropracteur se présentant comme docteur. La police m'avait alors menacé d'internement psychiatrique. Je n'ai pas compris.
06/03/2007 - Réponse à ma plainte pour violences policières
Une dizaine d'agents de police m'a tabassé à l'IGS durant plus d'une heure ou deux : jeté au sol puis sur un bureau, j'ai été fiché casseur de local de police, plusieurs agents se sont assis sur moi et on m'a tordu le cou pour me relever alors que je perdais presque connaissance puis on m'a envoyé en psychiatrie. On m'a constamment refusé un avocat. Je n'ai pas compris.
26/05/2008 - Faux rapport justifiant mon incapacité à travailler
Lors de la convocation j'ai donné un petit dossier médical de polytraumatisé corporel ayant tout le temps des infections depuis 1984, certificats et comptes rendus d'examens, y compris des expertises de la Compagnie Mutuelle d'Assurance. Je n'ai pas compris.
15/01/2015 - Ordonnance d'irrecevabilité de la plainte pour mauvais traitement
Lors de l'audience je n'ai pas pu m'exprimer et le juge m'a dit que je n'avais aucun droit même pas celui d'être assisté d'un avocat. Tous les documents présentés ont été ignorés. On m'a dit que "nulle (victime) n'a le droit de (se) constituer de (dossier) de preuves à soi-même (par elle-même, en les compilant dans un dossier)". Je n'ai pas compris et j'ai découvert que cette coutume avait été jugée illégale par la Cour de cassation, tout comme le refus de soins collectif i.e. l'abandon médical, qui relève en réalité de la tentative d'homicide passive. J'ai commencé à comprendre que l'organisation médico-sociale et juridique-judiciaire était corrompue afin de protéger des assurances privées et publique, ainsi que le chiropracteur et quelques praticiens médicaux, et je sais pas qui d'autre.
05/05/2019 - Courrier de contestation auprès du Juge des Libertés
Les Juges des Libertés a ignoré par six fois, ainsi que la Cour d'Appel et la Cour de Cassation, tant mes argumentations que les preuves que les psychiatres mentent, en disant qu'ils ne sont pas docteurs et ne font qu'établir les jugements selon la parole souveraine des psychiatres, sans vérifier quoi que ce soit hormis les vices de procédure, genre l'absence de signature sur les documents. Ainsi les psychiatres peuvent raconter ce qu'ils veulent sans prouver quoi que ce soit, dans le but de torturer qui ils veulent, puisque cela est de notoriété publique d'autant que les notices elles-mêmes des neuroleptiques et benzodiazépines attestent que ce ne sont que de substances très dangereuses voire mortelles qui causent de nombreuses et graves séquelles, et qui ne peuvent en aucun cas soigner une surdité, des entorses et un déficit immunitaire.
06/05/2019 - Courrier de réclamation auprès de l'Assurance Maladie
L'ordre des médecins m'a écrit se décharger sur le procureur de la république. L'ordre des dentistes m'a écrit ne pas pouvoir aller à l'encontre de la décision de la Compagnie Mutuelle d'Assurance. L'ordre des kinés ne m'a jamais répondu. Le
Tribunal des Affaires de Sécurité Sociale, compétent, a rejeté mon recours pour "incompétence au profit", "exclusif", de la CNAM. Le siège de la CNAM m'a indiqué par téléphone qu'il était impossible
en France de contester le diagnostic médical d'un médecin conseil et qu'il n'existait aucune voie légale pour le faire mais que je pouvais renoncer à la pension et demander à être interné en psychiatrie à vie.
07/05/2019 - Quatrième déposition de plainte pour mauvais traitement
21/05/2019 - Ordonnance de libération psychiatrique par le Juge des Libertés
Malgré qu'on m'a menacé d'augmenter les doses de neuroleptique, j'ai insisté pour être reçu par la médecine interne où on a finalement diagnostiqué un déficit immunitaire expliquant mes infections chroniques niées par les psychiatres. On a refusé de m'effacer du fichier des malades mentaux dangereux. Le bureau d'aide juridictionnelle et l'ordre des avocats ont comme par le passé rejeté de fait ma demande d'avocat pour obtenir réparation. J'ai finalement appris que n'importe quel juge du Tribunal Administratif pouvait casser un jugement de libération : il suffit que l'expert psychiatre maintiennent les propos du précédent et on me renvoie pire qu'en prison sans plus aucun espoir. L'hôpital et les kinés persistent à refuser de soigner mon dos par dégrippages mécaniques et mobilisation passive, la rhumatologie ayant insinué que mes douleurs provenaient d'un dysfonctionnement cérébral, ce qui est un pur mensonge qui nie la réalité radiologique.
21/12/2019 - Avis de classement sans suite plainte pour crime contre mon humanité
Un crime en cours contre une humanité visant à la torture et la réduction prématurée du temps de vie n'est pas punit par la loi en vigueur ? Dans quel monde est-ce que je vis ? En vérité, même si j'ai finalement compris ces dernières années, je ne comprends pas que des adultes qui travaillent et que des autorités en France puissent faire cela : assassiner des victimes en public au grand jour et à la vue de tout le monde, car je ne suis pas seul...

08/04/2020 - Certificat médical attestant de mon état traumatisé corporel invalide
Seize ans de torture chaque seconde de chaque minute de chaque heure de chaque jour de chaque semaine de chaque mois de chaque année, comment justifier cette torture et les nombreux attentats à ma vie quand on use d'abus de pouvoir, de corruption et de déni des preuves pour commettre ce qui forme un seul grave crime, pour de toute évidence ne pas payer les frais de soins et la perte de salaire, et je sais pas quoi d'autre ?
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